
Karine Szczepaniak
Artiste plasticienne en art textile contemporain
"Le Monde a besoin de l'Art comme l'Art a besoin du Monde..."
Fil et couture
ETEND’ART ( don à la mairie de Lambesc )
Une bannière de l’ère amoureuse puisqu’il s’agit d’amour…
Une sorte de reliquaire révèle un message : « je vous ai tant aimé » …
Un slogan nostalgique pour mettre en lumière et glorifier ce qui a été, ce qui n’est plus, ce qui sera…
Un tressage de messages d’amour écrits par diverses personnes : leur plus belles déclarations.
Inventer une texture dense et épaisse où chaque lettre, mot, signe se soudent entre eux pour constituer un support qui s’affiche en étendard.
Une revendication à cet amour que l’on a donné et qui s’en est allé…
L’art ici, fabrique, telle une Pénélope laborieuse, un tissage des précieuses déclarations; il
emprisonne ce qui échappe et croise en lignes et sans cesse écrit la même injonction pour créer un leitmotiv visuel.
Le palimpseste et la couture gardent secret ce qui nous est confié intimement : seul reste « ce tant aimé » répété, répété, répété … ainsi, garder visiblement ce qui n’est plus dit puisque la parole invisible meure au moment où elle se dit.
Matérialiser les mots dans un tissu qui revendique un souvenir, c’est présenter une petite
révolution, un semblant de victoire puisque ce qui n’est plus existe malgré tout désormais dans l’oeuvre, puisque le poids de la matière visible s’impose enfin entre toutes ses lignes qui s’embrassent à n’en plus finir…
« ÉTEND’ART ! »
Techniques mixtes, couture, collage, stylo bille, tampon, feuille d’argent, peinture acrylique,
incrustation sur PVC cristal, toile et tissu. 2018
110/70 cm. 450 euros.
PARTICUL’ART
Sur un mouchoir, sur un tissu immaculé blanc, écrire des phrases secrètes, des ratures empilées comme des strates qui n’osent pus rien dire, plus rien dire, plus rien dire. Chut …
Une grosse larme cosmogonique s’étale et coule à peine suspendue par l’énergie de la couleur tendre, de la nuance douce, des effets visuels formés de multiples détails, de fils en fils et ainsi renvoyé le chagrin immense au milieu des cieux.
Faire une oeuvre qui transfigure un chagrin universel en une seule image, encadrée d’écritures qui parlent d’une histoire et de toutes les autres histoires qui se sont déroulées sur un mouchoir.
Choisir un support signifiant et représenter un cosmos, un univers qui pétille malgré tout d’une humanité qui s’éparpille en particules, de l’Art pour évoquer sa puissance de renouveau.
Après la larme, la lumière et … leur dialogue secret … des toutes petites lettres, des centaines de points lumineux pour un concentré d’émotions passées, passées, qui dépassent d’ailleurs; vers loin ou si près, pas si loin de nous, on se souvient tous d’un chagrin et l’artiste l’ennoblit ?
Techniques mixtes, collage, peinture acrylique et feuille d'argent sur mouchoir et Plexiglas fin, 50/50 cm, 2015
(VENDUE.)
« MON ÂM… »
Un grand discours secret, tissé, tressé, entrelacé de phrases brodées.
Inventer une texture dense de mots, de signes, de gestes qui cohabitent sur un support chargé de bribes d’histoires inachevées.
Les bandes de PVC tressées sur un grand support transparent badigeonné de noir, avec des traces, des mouvements, des élans d’énergie noires et blanches sont au service d’une expression qui dit : Mon Amour, Mon Ami, Mon Amant, Mon Àme…
Une expression « Mon âm… » à peine dîte, mise entre parenthèse pour chuchoter tous les mots qui discutent et tricotent ensemble la vie, la mort et toutes ses aventures au point de vouloir tout coudre ensemble.
2016, Techniques mixtes, peinture acrylique, fils de fer, collage, tressage et couture sur PVC transparent. (137/140 cm) PRÊT À LA MÉDIATHÈQUE DE SEPTÈMES.
FRAGMENT DU DISCOURS AMOUREUX ( don à Sylvia Ladic dans le cadre d'un travail en binôme " chassé/croisé" : exposition galerie Topic à St Raphaël en mai 2024 )
Un discours cousu, décousu de fil noirs, blancs et rouges au service d’une graphie qui s’envole et
se désintègre en fragments; la superposition du discours amoureux dissimule un message secret,
une intimité qui s’exprime sans se lire. L’écriture plastique est au service d’un élan et d’un
support vertical qui impose la puissance d’un mouvement où se griffonnent des brouillons de
lettres; comme une histoire qui ne cesse de s’écrire pour raconter une rencontre, une rupture, un
passé, un vécu, des morceaux de déclarations qui s’envolent dans l’air semé de bouches tendres.
L’ensemble est suspendu avec un crochet, tel un morceau de viande dentelé, une dentelle
graphiques accrochée au ciel …
2014, techniques mixtes, dessin, peinture acrylique, fils, collage, empreinte et couture sur
plexiglas, 2/0.40 M. 450 euros.
L’ART C’EST DU TRAVAIL
Un pied de nez à l’expression : « L’Art contemporain, c’est trop facile, tout le monde peut le faire,
il n’y a presque rien… etc… »
J’ai donc réalisé une performance en tricotant sur mon lieu de travail une écharpe bleu layette de
7 mètres de long. Les personnes m’interrogeant sur le projet m’ont permis de discuter avec elle
du statut du « travail » de « l’ouvrage » dans la production artistique : soit, l’artefact nécessite t-il
forcément beaucoup de travail et uniquement par l’artiste ?
J’ai choisi délibérément de pratiquer le tricot, le crochet et la couture associée à une pratique
manuelle féminine en contraste avec la couleur bleu layette associé au « garçon » à sa naissance.
La genèse de l’oeuvre pratique ici l’humour pour dénoncer plusieurs clichés dans l’Art
Contemporain ; la dimension de l’Artisanat faisant référence à l’artisan, la dimension identitaire
dans l’histoire de l’Art où la femme apparaît clairement seulement à partir de 1980 et la dimension
du « faire » qui rassure sur le statut artistique de l’oeuvre. La quantité des lignes bleues tricotées
impressionnent-elles suffisamment ?
Il s’agissait de produire une pièce spectaculaire dans sa dimension et sa verticalité réalisée par
une femme pour inciter à la discussion autour de la question du « travail » dans l’oeuvre d’art.
L’oeuvre est dans sa globalité une mise en scène avec des pelotes de laines brodées de phrases
( critères esthétiques échangés lors de la performance de 3 semaines ) et la grande écharpe est
cousue avec ses aiguilles à tricoter et suspendue au mur comme espace de contemplation et de
lecture des mots crochetés :
L’ART C’EST DU TRAVAIL
Un postulat qui se veut humoristique, caustique, cynique ?
2007, Tricot, crochet, couture, broderie en laine bleu layette, + mise en scène au mur ou au sol
4/0.30 M. 450 euros.


Describe your image

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SUPERFRAGILISSS
Une citation à cette fameuse chanson de Mary Poppins "Supercalifragilisticexpialidocious" en détournant des vieux et beaux mouchoirs avec un passé bien lavé et repassé. Un passé devenu un élément plastique et esthétique dans une sorte d'immense mouchoir, un drap de lit qui raconte tellement le TEMPS !
Un mouvement de tous ces carrés ou rectangles de tissus, une danse qui suit les vraies et les fausses coutures, une punition écrite au stylo bille sur une surface de 180/220 cm.
( je m'aime, tu m'aimes, il s'aime, nous nous ... )
Et puis, deux petits autoportraits qui se baladent dans cet espace construit autour d'une phrase magique ou mythique ? Une fiction qui casse les mots en morceaux mais à la fin tout se rejoint en un seul support en tissu, un blanc non immaculé, une surface qui en dit long... ou pas :-)
Techniques mixtes, couture, collage, photographie et peinture acrylique sur un drap blanc, 180/220 cm. 1997. ( collection personnelle )
" VIVRE " : une ode à la vie, au temps et à l'Art... ( mai 2020 : l'ère du déconfinement )
" LA RÉSURRECTION"
une oeuvre réalisée d'octobre 2019 à mai 2020, techniques mixtes sur toile de jute, tissus divers, couture, peinture, collage sur tissu crocheté, assemblage, détournement de matériel chirurgical. ( en hommage au personnel soignant en période de confinement et après... ), 1,70M/0,1,35M.
750 euros






































LA GÉNÈSE D'UNE OEUVRE OÙ LES ALÉAS DE LA CRÉATION...
Ceci n'est pas une oeuvre finie, juste la préparation d'un support. Une surface très organisée, un champ chromatique de 150 chutes de tissus de récupération. La dimension plastique arrivera en seconde partie avec l'apparition de mots, mon leitmotiv essentiel... À suivre pour la suite et la finition de l'oeuvre non pas dans un aspect géométrique mais au contraire pour déconstruire un support bien trop tranquille........
AVANT DERNIÈRE ÉTAPE :
Tous les constituants principaux sont prêts à être assemblés dans un jeu combinatoire... servir un propos autour de la représentation d'un espace "géographique" : une vue aérienne chromatique, une carte fripée et chiffonnée, des continents tricotés et déformés. Un ensemble qui évoque des territoires, un monde où la géographie se conjugue à tous les plans : large, serré, couturé, collé... À suivre, une dernière étape où la plasticité va opérer sa magie et son hasard, sa destinée transformatrice. À voir comment les formes et le fond vont dialoguer et exprimer un tout qui questionnera le monde ? ET HOP !!!
DERNIÈRE ÉTAPE
Une oeuvre réversible qui se joue du mot HOP(E) ! Un champ chromatique et des territoires cousus ou tricotés pour inventer une texture-planisphère... Visualiser un territoire en l'air et faire voir un espace qui associe des fragments de tissus, de carte géographique et de fils au service d'un support qui se lit dans les deux sens : HOPE/EDOH. ( espoir/bonheur ).
Etre suffisamment terrifiée par le désespoir pour créer un processus qui ne le dit surtout pas. Ainsi l'espoir inversé n'est pas un néant noir et profond mais une expression de couleurs organisées, serrées, superposées, imbriquées, piquées de points pour matérialiser un désir de "bonheur" qui se tient tout contre mes mains qui tirent le fil d'une histoire secrète.... 750 euros
Une oeuvre qui prend ses racines dans un objet du quotidien emblématique de la notion de temps : L'AGENDA.
Le gribouillage devient la procédure pour en extraire un vocabulaire de formes graphiques.
C'est la répétions des motifs qui inscrivent le jeu des traits, des contours et des couleurs dans un paysage abstrait.
C'est la manie de refaire le même geste ou presque qui induit le remplissage de la surface et crée un ensemble dynamique et protéiforme. Le stylo bille dessine et comble des contours qui se répondent chromatiquement parlant.
Le fil dialogue avec le tissu au service d'un mouvement de la main obsédant, qui n'en finit pas de piquer.
Une ode au temps brodé pour concrétiser une texture qui devient à la fois un habit et une surface. Un objet qui se contemple, que se touche, qui démontre tout l'effort et la patience d'un artefact pour les yeux et les mains.
Un ouvrage qui interroge les liens entre art et artisanat, entre le visible et le lisible. Un "espace-temps" pour maintenir le plus longtemps possible le contact entre le corps et le support, entre les fils et les pensées qui vagabondent machinalement pendant que l'oeuvre se matérialise...
comme un tour de fée ?
« FÉE MAIN » couture, broderie, perles, assemblage,
dessin au stylo bille, feuille d’or, d’argent et peinture
acrylique sur tissu. 2021. 2,50m/1,10m. 600 euros.
PREMIÈRE ÉTAPE
DEUXIÈME ÉTAPE
TROISIÈME ÉTAPE
TU ES LÀ..
Couture, broderies, fusain, stylo bille, encre et techniques mixtes sur tissu.
0,85m x 1,20m. juillet 2021. 700 euros
oeuvre en hommage à mon père...
Un questionnement autour du temps qui passe, des chiffres et des mots fantomatiques, un palimpseste qui s'efface, qui se répète pour traduire à la fois la présence et la perte, le visible et le lisible au service d'un adieu qui se veut "poétique" et léger... comme un souffle fragile qui s'en est allé... des fils qui pleurent, des pages d'écritures qui te tiennent le temps de quelques points, de quelques lettres.
De la couture qui pique jusqu'au mal de doigts pour mon père qui n'est plus là... et pourtant, les traces répètent et s'acharnent inlassablement à écrire, peindre et dessiner ton nom, ton appellation... et pourvu que tu l'entendes.... papa ?
Du noir et du blanc qui dialoguent et ensemble diffusent sur la surface des gris en gouttes, en poussières, en coup de pinceaux délicats au service d'un "calendrier" qui a marqué ton départ... vers des cieux ou des étoiles qui me regardent... encore et toujours...
GRAAL...
Une oeuvre qui dessine et qui brode un chemin vers la quête d'une belle couronne suspendue au bord d'un château voilé...
Un avenir léger, flottant, fragile...
Une broderie qui pique son désir au plus haut ? ( broderie, couture, encre et gel acrylique sur voile, 2022, 120/2M ) 450 euros
"LA COLONNE DE L'ANGE"
couture, broderie, encre, dessin, gel acrylique,
collage et assemblage sur langes et drap. 1,40m x 2m. OCTOBRE 2022. 2000 euros
Une oeuvre en relation avec un poème écrit il y a longtemps sur la vieillesse...
L'histoire d'une vieille dame qui souriait de toutes ses dents au soleil en regardant vers le ciel...Elle eu cette vision d'un ange qui montrait pour la toute première fois, sa colonne vertébrale. Comme si cet être pouvait se comporter comme cette vieille dame recroquevillée sur son dos bien lourd de son âge...
Une image que l'Art tente de rendre visible et l'on cherche ainsi le texte dans l'oeuvre qui raconte le mystère de ce mirage sur des langes d'enfant...
GUERRE ET PAIX
« GUERRE ET PAIX », couture, broderie, assemblage, peinture, encre et dessin, épingles et pochoirs, sur chemises et drap. 2022-23, 1,60m/ 1,20m. 1500 euros
UN SUPPORT UNIQUEMENT CONSTITUÉ DE CHEMISES PROPRES ET SALIES DE FEMMES, D'ENFANTS ET D'HOMMES... POUR ÉVOQUER LES CORPS ABSENTS ET POURTANT VICTIMES DE LA GUERRE.
UN HOMMAGE AUX CONFLITS QUI SE DÉROULENT AU-DELÀ DE NOTRE TERRITOIRE : UNE CARTOGRAPHIE INVENTÉE AVEC UNE STRATÉGIE DE DÉPLACEMENT DE SOLDATS QUI VOYAGENT DE LA PAIX À LA GUERRE SANS POUVOIR S'ARRÊTER.
UNE PLASTICITÉ DE LA MATIÈRE ET DE TEXTURE AU SERVICE D'UN PROPOS DOUX ET TRISTE.
DES TACHES QUI RACONTENT, DES AIGUILLES QUI PIQUENT, DES POINTS QUI SERRENT, DES MOTS QUI DISENT... LE PASSÉ, LE PRÉSENT ET L'AVENIR ?

" GÊNE ET ALOGIE ", couture, broderie, encre, assemblages, fils et techniques mixtes sur tissu brûlé et velours. 1M/2M. JUIN 2023. 1800
Une oeuvre qui associe l'arbre de vie et l'arbre généalogique pour réinventer des liens, tisser des trajectoires inventées et questionner l'histoire familiale, la vraie, la fausse, la fictive, la fantasmée...
Des fermetures éclairs qui ouvrent et ferment peut-être les secrets d'appartenance solides ou fragiles, des fils torsadés pour évoquer les affiliations complexes, celles qui dessinent dans nos vies des entrelacements, des épisodes plus ou moins brillants ou colorés...
Des diapositives pour signifier le caractère nostalgique d'une représentation stéréotypée :
( arbre de vie et généalogique ) celles que l'on regardaient en famille pour se souvenir ensemble de ce qui n'existe plus. Une symbiose entre un arbre et une généalogie au service d'un brouillage graphique, plastique et sémantique. Ce qui gêne et trouble la lecture, la texture devient peut-être visible et emmène le spectateur dans sa propre histoire...
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" LE COL DU POÈTHE "
Collage, couture, broderie, peinture acrylique, assemblage, pochoirs et feuille d'or sur drap blanc. 120/120 cm. octobre 2023, 1500 euros.
Une contraction entre poésie et éthique = poétique.
Le col du poèthe, c'est une manière d'ériger le poète au rang hiérarchique le plus noble par un col honorifique, où les couches de dentelles étoffent le statut du poète au rang de Prince ou de Roi ?
Le mot poésie devient un motif plastique qui envahit la surface pour créer un phénomène "dentelle" de pleins et de vides où il s'agit de répéter à l'infini : POÉSIE ! À l'ère d'une société qui oublie la légèreté ou le tréfond de l'être et de l'âme, la poésie devient un crédo obligé...
Le spectateur face au miroir devient-il un tissu du poète ? Saura t-il entrer dans un univers poétique ?
En douceur, crier la poésie et imaginer une contamination dynamique !
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"Mémorabilia fémina"
" MÉMORABILIA FÉMINA " ( boîte à souvenirs d'une femme ), couture, broderie, acrylique, pastels secs et techniques mixtes sur tissu blanc. 0,77/2/0,60 M. 1600 euros.
Un ensemble qui se présente sur un chevalet : une mise en scène de l'oeuvre pour rendre hommage à l'enfance de l'art, à mes dessins, à mes écritures d'enfant de 5 ans. Une sorte de "tableau sacré" comme peut l'être une âme d'enfant.
Une femme tente d'attraper une main de petite fille qui dessinait des oiseaux; elle brode comme une adulte et peint comme une enfant. Il y a un temps d'une enfance et un temps de femme qui dialoguent dans une boîte, un coffret doré qui encadre un moment unique, des souvenirs d'école où le dessin et l'écriture sont encore des gestes libres ...
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"LE COURAGE DE JANE (EYRE)"
Un hommage à une héroïne féministe littéraire; une femme qui a erré dans les difficultés jusqu'à savoir se faire un nom,
une place, une liberté durement gagnée. Une femme qui part à l'assaut d'un tissu jean au masculin longtemps considéré
comme l'habit du labeur et de la révolution. Ainsi, Jane et Jean se tisse une histoire de genre ?
Le prénom JANE se disperse comme un cheminement compliqué avant de pouvoir s'appeler, s'épeler en entier, avant de
pouvoir devenir une femme...libre dans un monde d'hommes... où pourtant chacun reste "homéo" (semblables en grec ancien)
Mars 2024, suspension au mur, 20 éléments : cintres, tissu en jean, broderie, couture, fil de fer et techniques mixtes.
1,30 M/1 M. 2000 euros.
UNE EXPÉRIENCE EN BINÔME ! Comment s'approprier l'oeuvre d'une plasticienne : Sylvia Ladic ? ( galerie TOPIC à Saint Raphaël dans le cadre des "eauditives" 2024 avec PLAINE PAGE ).
"S'effrayer un chemin..." ( SE FRAYER UN CHEMIN DANS L'ART DE L'AUTRE ), mai 2024, 1,10M/1,60M, couture, broderie, dessin à l'encaustique et techniques mixtes sur tissu noir )


ÉCHANGE D'OEUVRES !

Dessin à l'encaustique de Sylvia Ladic.
Art textile contemporain de Karine Szczepaniak



LA CANARDE N'EST PAS VILAINE !
Une oeuvre inspirée du livre de Hans-Christian Andersen : " le vilain petit canard ".
Un hommage à toutes les personnes atypiques qui souffrent de ne pas être reconnues dans leur différence : une
richesse dans toutes les normes de l'humanité...
Des rangées de petits canards bien jaunes et bien obéissants, en rang les uns derrière les autres et !
Une belle bouche qui tire une énorme langue à celui qui regarde : une manière de l'interpeller
pour qu'il remarque et questionne vraiment "le comment du pourquoi" de cette langue qui s'étire avec tous ses boutons ?
Un petit clin d'oeil à deux images célèbres : le logo des Rolling stone et Albert Einstein tirant la langue aux journalistes.
Une attitude "rock" qui consiste à dire : tant pis, tant mieux, c'est comme çà ! que cela vous plaise ou non !
Collage, broderie, couture textiles et techniques mixtes sur tissu velours noir et plaque de bois; 1,60/1M. 1700 EUROS
"MARIONS-NOUS",
Broderie, couture, assemblage, Posca, feuille d’or et argent,et techniques mixtes sur satin blanc nacré.
3,40/1,10M. 2024.
« Marions-nous ! ». Une oeuvre d’art textile brodée au service de 300 prénoms qui vont se rencontrer dans une cosmogonie de mots. Un uni-vers pour rêver d’un mélange religieux, d’un espace qui tisse des signes de paix en ces temps si peu harmonieux… l’art peut ainsi matérialiser une idée qui ne peut exister…Broder des prénoms religieux de 6 religions différentes et tout mélanger au service du hasard pour inventer une chimère avec des tambours à broder comme planètes sur lesquelles des signes multicolores dynamisent un espace qui se lit, qui se lie...
Oeuvre interactive en trois dimensions, présentée sur une table avec bande sonore.
"LE SACRE DE K"
Une oeuvre d'art textile contemporain qui raconte l'histoire d'une femme qui pardonne à toutes les femmes de sa famille qui n'ont pas pu lui donner l'amour en se sacrant elle-même avec "amour". Non pas une oeuvre égocentrique mais plutôt la traduction d'une énergie puissante pour incarner une réconciliation. IL ÉTAIT TEMPS !
Un hommage à toutes les femmes qui cherchent le chemin vers l'amour de soi...
"LE SACRE DE K", 2,20M/1,80M, couture, broderie, assemblage, peinture acrylique, tressage cheveux, sur couvre-lit gris et satin bleu.



